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Imagerie par résonance magnétique (IRM)

L’Hôpital général de Whitehorse a le premier appareil d’IRM au nord du 60e parallèle.

Les demandes d’examen sont faites par un médecin. Le radiologiste les classe en ordre de priorité en fonction de l’urgence médicale.

Fonctionnement

L’IRM est une technologie de diagnostic de pointe sécuritaire qui utilise des aimants très puissants (au lieu de la radiation) conjugués à des vagues d’ondes radioélectriques pour produire des images détaillées de structures internes.

Pour en savoir plus, consultez le dépliant du programme d’IRM de l’Hôpital général de Whitehorse (PDF).

Trouver le service

Pour vous rendre au comptoir du service d’IRM, empruntez l’entrée principale, puis traversez les portes à votre gauche dans l’atrium principal. C’est là que vous pourrez vous enregistrer.

Vous préparer
À quoi s’attendre

À votre arrivée au service d’IRM, vous recevrez un accueil chaleureux de notre personnel compétent, qui procédera à votre enregistrement et vous aidera à vous préparer. Notre technologue en IRM vous expliquera la procédure et réalisera l’examen.

On vous demandera de passer une chemise d’hôpital et de vous débarrasser de tout objet, implant ou appareil métallique, magnétique, électronique ou mécanique non autorisé dans la salle d’IRM. Vos effets personnels seront mis en sûreté sous clé pendant votre examen. Une fois dans la salle d’IRM, vous devrez vous allonger sur un lit qui glissera lentement dans la machine.

Prévoyez de 30 à 90 minutes, selon le type d’examen demandé par votre médecin. La machine produit de gros bruits sourds lorsqu’elle est en marche; on vous proposera des bouchons ou de la musique pour atténuer les sons et vous aider à vous détendre. En fonction de ce que le médecin a demandé, un produit de contraste pourrait vous être administré par intraveineuse pour faciliter la visualisation de la région à examiner.

Différences avec les autres examens

La radiographie produit des images détaillées de tissus denses (ex. : les os), mais l’IRM permet une meilleure visualisation des tissus mous, comme les muscles, les ligaments et les tendons.

Outre les examens neurologiques, musculosquelettiques, cardiovasculaires, oncologiques, etc., on peut utiliser l’IRM pour obtenir un complément d’information sur un problème détecté pendant une tomodensitométrie, une radiographie ou une échographie. Les hôpitaux font largement appel aux examens par IRM à des fins de diagnostic médical, de stadification d’une maladie et de suivi.

On confond souvent la tomodensitométrie (TACO) et l’IRM, ce qui s’explique en partie par la similitude des appareils utilisés. En fait, tout dépend de ce que votre médecin a besoin de savoir. Le docteur Philip Pattison, radiologiste à l’Hôpital général de Whitehorse, décrit les similitudes et différences entre les deux examens et explique leur déroulement et à quoi ils servent.